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Réussir
un régime alimentaire

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Maigrir
ce n'est pas non plus synonyme d'austérité, de privations,
ou de régime draconien. Parce Que chaque individu est différent,
de par sa morphologie, son mental et son environnement, il faudra plus
ou moins de temps à une personne pour perdre son excès pondéral
en partie ou en totalité.
Méfiez-vous
des régimes plus ou moins fantaisistes dont les publicités promettent
des miracles,
parlez-en à votre médecin.
- Évitez
le grignotage entre les repas. Il est souvent responsable d'une inefficacité
du régime.
- Évitez
les irrégularités trop fréquentes dans la conduite du régime : si vous
le rendez moins efficace, il perdra toute crédibilité, et vous l'arrêterez.
- Attention
à ne pas manger trop d'aliments dits " de régime " ou de plats
" allégés " : ils sont tout de même riches en calories.
- Apprenez
à lire systématiquement les étiquettes des produits ; cela permet de
connaître leur composition en glucides, lipides, protéines, vitamines
et sels minéraux. L'équivalent calorique global y est aussi fréquemment
indiqué.
- Tenez
un carnet alimentaire, où vous écrirez tout ce que vous mangez, jour
après jour, y compris vos écarts éventuels. Ce carnet vous permettra
de faire le bilan de votre régime, d'observer si vous respectez les
quantités de lipides, glucides, protides, et surtout de comprendre pourquoi
et comment vous faites des écarts.
- Même
lorsque l'on suit un régime, il faut conserver une alimentation très
variée.
- Ne
vous isolez pas : ce n'est pas parce que vous suivez un régime qu'il
faut refuser toutes les invitations à dîner. Il est parfois préférable
de faire un petit écart. Ce qui compte, c'est le respect du régime sur
le long terme.
- Avant tout, faire
le bilan : observer son corps, ses déséquilibres alimentaires
et adopter les mesures les plus adaptées. Pour ce faire, la tenue
d’un "carnet de bord" est très précieuse. Il
s’agit de noter tout ce que l’on consomme dans la journée, à
quel moment, et avec quel niveau de faim de 1 à 4. Très
vite, on s’aperçoit que l’on mange trop sucré, ou trop
gras, ou sans faim. Le diagnostic permet de corriger son comportement
sans grande privation au départ.
Ne pas être obsessionnel. Il y aura forcément des écarts
de temps en temps. Ils n’empêchent pas de maigrir, à condition
de reprendre la ligne droite aussitôt après. Ne pas se
peser plus d’une fois par semaine et au mieux tous les mois. Rien de
tel que d’essayer ses vêtements devant son miroir pour savoir
si l’on a fondu.
Apprendre à gérer les moments à risques style "à
18 heures je me jette sur le réfrigérateur !" À
cet instant que l’on sait particulièrement sensible, deux solutions
: trouver une autre occupation (gym, course, relaxation, etc.) ou prévoir
des aliments non caloriques.
Reprendre le chemin du marché, délaisser les pièges
et tentations des grandes surfaces. Remplir son frigo avec des fruits,
des légumes, des produits frais sur lesquels on pourra se jeter
sans remords en cas de fringale. Se rappeler qu’auparavant on se dirigeait
vers le placard bourré de gâteaux, chocolat et cacahuètes
trop riches, ou de produits allégés faussement sécurisants.
S’équiper d’ustensiles de cuisine adaptés pour économiser
les graisses : poêle antiadhésive, micro-ondes, matériel
nécessaire pour cuire à la vapeur ou en papillotes.
À table, ouvrir l’éventail de ses goûts, varier
les saveurs, oser les épices et les alliances moins habituelles
(salé-sucré, acide-amer, doux-pimenté).
Manger 4 fois par jour : matin, midi, goûter et soir. Une meilleure
répartition des apports alimentaires sur la journée évite
les compulsions irraisonnées.
Réduire sa ration de 20 à 40 %. Si l’on consomme habituellement
2 500 calories, une alimentation située entre 2000 et 1 500 aboutira
à une perte de poids.
Plusieurs possibilités : réduire le nombre de plats du
repas, sélectionner des plats légers en valeur calorique,
ne se servir qu’une fois, laisser le tiers ou la moitié de son
assiette.
À savoir : un ou deux très gros repas peuvent annuler
tous les efforts de la semaine !
Manger lentement, en savourant. L’impression de satiété
parvient au cerveau 10 à 15 minutes après le début
du repas. S’imprégner des saveurs et poser sa fourchette toutes
les trois bouchées.
Attention : Tous les
renseignements affiches dans le site alacuisine.net dossier obésité
vous ont été sélectionnés de plusieurs sites
spécialises et suite a ma propre documentation et livres, pour
vous faciliter les recherches sur le net et vous donner une idée
générale sur l'obésité. Nous ne sommes pas
responsable de tout mauvaise interprétation. Nous vous remercions
pour votre compréhension
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